Secret wedding of Cristiano Ronaldo in Marrakech? The football star explains himself

Football legend Cristiano Ronaldo spoke about the rumor of his marriage to Georgina Rodriguez, which allegedly took place in Marrakech according to an Italian newspaper.  Marrakesh would have hosted the wedding of Georgina Rodriguez with Cristiano Ronaldo?
The press officer of the latter has dispelled the doubts about this "scoop" relayed on November 21 by the Italian media Novella 2000.  "He did not get married," the press officer told TMZ Sports.  Hiding from the paparazzi in Marrakech  The Italian weekly previously reported that the 34-year-old Juventus striker has married Georgina Rodriguez, the mother of his child, in Morocco. The date of the wedding, which would have taken place in the greatest secrecy, had not been specified.

Mariage secret de Cristiano Ronaldo à Marrakech? La star du football s’explique

La légende du football Cristiano Ronaldo s’est exprimée sur la rumeur de son mariage avec Georgina Rodriguez, qui aurait eu lieu à Marrakech selon un journal italien.

Marrakech aurait-il accueilli les noces de Georgina Rodriguez avec Cristiano Ronaldo? L’attaché de presse de ce dernier a dissipé les doutes quant à ce «scoop» relayé le 21 novembre par le média italien Novella 2000.
«Il ne s’est pas marié», a affirmé auprès de TMZ Sports l’attaché de presse.

Se cacher des paparazzis à Marrakech

L’hebdomadaire italien avait auparavant rapporté que l’attaquant de la Juventus, 34 ans, aurait épousé Georgina Rodriguez, la mère de son enfant, au Maroc. La date du mariage, qui aurait eu lieu dans le plus grand secret, n’avait pas été précisée.

UN SECRET MAL GARDÉ '' Kate Midd­le­ton et William veulent un troi­sième enfant "

Secret Mal Gardé dans la famille royale
Kate Midd­le­ton et William veulent un troi­sième enfant: “le plus tôt sera le mieux”


Avec les deux bouts de choux George et Char­lotte, on pour­rait croire que les parents William et Kate en ont assez. Mais les duc et duchesse de Cambridge rêvent d'une famille plus grande encore. D'après des chro­niqueurs anglais, spécia­listes de la famille royale, un troi­sième bébé serait déjà à l'ordre du jour.

Aussi­tôt mariés, la presse atten­dait déjà le premier bébé de William et Kate Midd­le­ton. Aussi­tôt le deuxieme bébé George mis au monde, la presse atten­dait déjà la nais­sance de son petit frère, ou de sa petite soeur. En 2015, Char­lotte a rejoint cette belle petite famille, et désor­mais, la presse attend le troi­sième enfant du couple prin­cier.

Car une chose est certaine, les photos de famille de Kate, William, et de leurs enfants George et Char­lotte font plai­sir à voir. Leur séjour cana­dien a confirmé que le rôle de père convient à William. Pour Rebecca English, la corres­pon­dante du Daily Mail, lors des voyages offi­ciels du couple, cela ne fait aucun doute, la famille pour­rait s'agran­dir très rapi­de­ment.

Ce n'est qu'une hypo­thèse, mais elle est évoquée de concert avec Richard Kay, célèbre chro­niqueur royal outre-Manche, égale­ment auteur au Daily Mail. Les deux spécia­listes, toujours bien infor­més déclarent: 

"Des sources au sein du palais disent qu'il est déjà ques­tion d'un bébé numéro 3. (…) Un autre enfant est en projet, d'après ce que nous avons compris, et le plus tôt sera le mieux. Bien qu'il ait été très heureux de repro­duire l'éduca­tion façon « nous quatre » de sa grand-mère (2 parents, 2 enfants), les amis de William ont toujours cru qu'il pense qu'il faut trois enfants pour faire une famille complète. Et Kate, bien sûr, est l'aînée de trois."

Ce qui fait dire aux deux chro­niqueurs mondains qu'un troi­sième bébé serait au programme tient aussi à l'atti­tude paren­tale de William, plus affirmé et plus dispo­nible avec ses enfants que ne l'était son père.

La jour­na­liste écrit: "William a fait montre de ses talents de parent, qu'on ne voit que si rare­ment en dehors de l'inti­mité de son foyer. Lui qui s'est souvent montré maladroit et dépourvu de natu­rel avec les enfants est arrivé à matu­rité en tant que père." 



Mais agran­dir sa famille, ce n'est évidem­ment pas un choix à prendre à la légère. William le sait mieux que quiconque, et l'avait indiqué dans un moment de fran­chise aux jour­na­listes anglais.
"Même si cela vous rend beau­coup plus fort et meilleur à bien des égards, avoir des enfants vous rend aussi vulné­rable par moments."
Kate et William ne se sont jamais pronon­cés ouver­te­ment sur leurs envies d'un troi­sième enfant, mais ces décla­ra­tions des spécia­listes de la couronne britan­nique laissent penser qu'une nouvelle gros­sesse pour­rait arri­ver très vite. D'ici la fin de l'année?

Ref : Gala.fr


Natalie Dormer se rase le crâne pour Game Of Thrones

L’actrice de la série “Game Of Thrones”, a surpris l’assemblée en arborant une toute nouvelle coupe de cheveux aux Screen Actors Guild Awards à Los Angeles.

L’actrice a sacrifié sa belle chevelure blonde pour les besoins du blockbuster 

Le samedi dernier, sur le tapis rouge des SAG Awards, elle avait fait sensation avec son half hawk («demi-crête», soit les deux côtés du crâne rasés). Mais aussi suscité l’interrogation. Aujourd’hui, on connaît ses motivations : cette coiffure est en lien avec son rôle dans le prochain volet de la saga Hunger Games.

On avait bien cru qu’elle avait viré trash, et l’exprimait de manière capillaire, comme Miley Cyrus. Ou que, sous pression, elle avait pété les plombs et s’était rasé le crâne, en mode Britney Spears. Mais non, rien de tout cela n’était vrai, Natalie Dormer – qui joue Margaery Tyrell dans la série au succès planétaire Game of Thrones – a simplement changé de coupe de cheveux pour les besoins du troisième épisode de Hunger Games, La révolte.

En effet, la jolie Britannique de 31 ans (aperçue dans Les Tudor, Rush, Elementary et Cartel) interprétera Cressida, une réalisatrice du Capitole acquise à la cause de l’héroïne Katniss, incarnée par la désormais célèbre Jennifer Lawrence. Il faut dire que les looks des personnages de ce film, dont l’histoire se déroule dans un monde futuriste et post-apocalyptique, sont tous plus ou moins hors du commun. Notamment ceux des habitants du Capitole, le District le plus riche et le plus influent: perruques roses, vertes ou bleues, maquillage outrancier, plumes, froufrous et paillettes… La nouvelle fantaisie de Natalie s’explique donc ainsi ! 
«Je cache cette coiffure depuis trois mois. J'attendais juste le bon moment pour la dévoiler », a expliqué l'actrice à Entertainment Weekly. Pourtant, la demoiselle nous avait déjà surpris avec un changement capillaire de taille : châtain au naturel, elle avait adopté le brun pour la série Game of Thrones, une couleur qui mettait en valeur son intense regard azuré. Avant d’opter pour une cascade mordorée, blonde comme un champ de blé. Puis d’en sacrifier une partie sur l’autel des obligations professionnelles.

Le half hawk, une mode qui fait bien des émules chez les stars. Parmi celles qui y ont succombé on peut citer les chanteuses Rihanna, Cassie, Kesha et Avril Lavigne, le mannequin Alice Dellal, la fille de l’acteur Will Smith, Willow Smith. Mais aussi, en version courte, les chanteuses Pink et Miley Cyrus, bien sûr!


Source : gala.fr

Ben Stiller s'incruste à Hollywood

Ben Stiller était à l'honneur de la "Cérémonie des Pieds et des Mains" au célèbre TLC Chinese Theatre. Comme de nombreuses stars hollywoodiennes avant lui, Ben Stiller a posé ses mains et ses pieds dans le béton, en présence de sa famille et de Tom Cruise.
C'est une cérémonie différente de celle des Etoiles d'Hollywood Boulevard, mais c'est une autre façon d'immortaliser les stars. Ben Stiller a ainsi été honoré par la Cérémonie des Pieds et des Mains qui a lieu de manière traditionnelle devant le TCL Chinese Theatre de Los Angeles, où les plaques de bétons qui portent les empreintes d'acteurs et actrices célèbres sont exposées. Ben Stiller a déjà une carrière plutôt riche mais il s'est particulièrement illustré cette année en dirigeant son cinquième film, La Vie rêvée de Walter Mitty.
Extrait du film
Le TCL Chinese Theatre est un cinéma mythique de Hollywood Boulevard qui a précédemment porté les noms de Grauman's Chinese Theatre et Mann's Chinese Theatre. Ce cinéma fut construit en 1926, suite au succès du Grauman's Egyptian Theatre bati en 1922. Le Chinese Theatre fut inauguré le 18 mai 1927 à l'occasion de la première du film Le Roi des Rois de Cecil B. DeMille. De nombreuses premières y ont eu lieu parmi lesquelles Star Wars en 1977. La Cérémonie des Oscars y a eu lieu trois fois.

Et parmi les traits particuliers de ce cinéma, les fameux blocs de béton qui portent les empreintes de stars du cinéma. L'actrice Norma Talmadge fut la première a posée ses mains et ses pieds dans le béton lors de l'inauguration. Tous les plus grands y sont immortalisés et certains ajoutent un petit mot à leurs empreintes, ainsi Arnold Schwarzenegger avait écrit en 1994, "I'll be back".

A 48 ans, c'est un bel honneur qui était ainsi rendu à ben Stiller qui s'est déclaré très touché et heureux. sa famille était présente, sa femme et ses deux enfants, ainsi que son ami Tom Cruise qui s'est fendu d'un beau discours. Ben Stiller vient de reprendre du service pour La Nuit au Musée 3, et prête à nouveau sa voix au lion Alex pour le spin-of Les Pingouins de Madagascar. Son film La Vie rêvée de Walter Mitty sort le 1 er janvier en France.

Source: cinemovies.fr

Festival du film : Dominique Besnehard tient son vrai festival "populaire"

Au festival du film francophone d'Angoulême, les stars descendent au Mercure, et on peut les approcher dans les cafés : l'acteur et producteur Dominique Besnehard, ex-agent des plus grands acteurs français et co-délégué général du festival, tient là un vrai rendez-vous populaire.

"Ca a toujours été mon rêve de transmettre ma passion du cinéma, de faire que des gens simples puissent accéder à la culture, de faire un hommage au cinéma et d'aller dans toute sa diversité", dit-il dans un entretien à l'AFP.

La 6ème édition s'est achevée mardi, avec le sacre (Valois d'or, Valois du public) de "Les Garçons et Guillaume, à table!" de Guillaume Gallienne. Comme chaque année, la sélection comptait dix films francophones "carrés, pointus"...

Avec en prime, outre un hommage national consacré au cinéma québécois, une dizaine d'avant-premières de haut niveau, comme "Casse-tête chinois" de Cédric Klapisch, "Quai d'Orsay" de Bertrand Tavernier, ou "Eyjafjallajökull" d'Alexandre Coffre avec Dany Boon et Valérie Bonneton. Et à chaque fois l'équipe du film en chair et en os.

L'idée d'un festival, raconte Dominique Besnehard, est venue de la productrice Marie-France Brière, "grande prêtresse de la télévision" dans les années 80. "En retraite ici, elle s'ennuyait un peu, et s'est dit que ce serait bien de faire à Angoulême un festival de cinéma d'été, puisque l'hiver il y a celui de la BD".

Mais sur quel thème? Policier, romantique, amour, gastronomie, énumère Dominique Besnehard... Tout avait été pris, pas la francophonie. Ce choix permet de présenter chaque dernière semaine d'août le meilleur des films de France et en français.

Le festival coûte environ 500.000 euros, subventionnés à moitié par Magelis, pôle de l'image à Angoulême, le reste par le CNC, le ministère de la francophonie ou des sponsors comme Sothys, Renault, la SNCF ou la Banque populaire.

Les finances ont tangué en 2010 après la brouille, jamais réglée, entre M. Besnehard et la présidente du conseil régional Poitou-Charentes Ségolène Royal. Mais le festival a retrouvé la santé.

"Line Renaud c'est comme le Président de la République"

Cette année, le public a dû dépasser les 20.000 spectateurs, avec une offre attractive, à 25 euros pour dix films. L'affluence réjouit Dominique Besnehard, qui "veut garder ce côté populaire. Ici, les artistes, on les voit, on les photographie. Et s'ils ne veulent pas jouer le jeu, ce n'est même pas la peine qu'ils viennent".

Elle l'inquiète aussi, à la vue des files d'attente : "Ils sont patients ici, ils ne râlent pas... Mais il faut qu'on trouve des solutions car il n'y a rien de pire que les gens attendent comme ça, ça me rend malade".

Comme il l'a répété à la cérémonie de clôture, il aimerait que le complexe cinématographique de la ville double le nombre de salles consacrées au festival pendant les quatre jours qu'il dure.

Les vedettes aussi aiment l'ambiance d'Angoulême, toute simple, même si Dominique Besnehard, mine de rien, veille au grain. "Attention, Line Renaud, c'est comme le Président de la République, hein? Il faut bien s'en occuper!" l'entend-on ainsi recommander à une assistante dans le hall de l'hôtel.

Même traitement soigneux pour Gilles Jacob, président du festival-roi, celui de Cannes, en promotion pour un livre également, et qui confie qu'un tel déplacement chez les autres est pour lui "très rare".

Sandrine Kiberlain, héroïne de "9 mois ferme" d'Albert Dupontel, dit que "c'est un plaisir d'être ainsi proche des gens, et pour nous aussi c'est rare". Valérie Lemercier est "estomaquée de voir le nombre de gens dans la rue".

Quand il n'est pas à Angoulême, Dominique Besnehard est acteur, comme dans le dernier Klapisch, et dirige la société de production "Mon Voisin". Son principal vœu est tout simple : "Obtenir un nouveau grand succès populaire", après le 1,5 million d'entrées de "Mince alors!" de Charlotte de Turckheim, en 2012.

Cet immense connaisseur du cinéma n'a en revanche "pas envie" d'être réalisateur. "Ce qui m'amuse, c'est d'être un rassembleur et un accompagnateur", conclut-il.

Réf : nouvelobs.com

Deauville : 39ème Festival du cinéma américain


Le Centre international de Deauville finalise les derniers détails avant l’accueil des stars et des festivaliers à partir du 30 août.
Sans doute, le Festival du cinéma américain s’approche à grands pas ! Les ouvriers se sont déjà activés pour nettoyer les vitres du toit du Centre international de Deauville. À proximité, les tentes accueillantes des conférenciers de presse et le bar sont déjà dressés depuis des jours.
Le tapis rouge
Le long de l’avenue Lucien-Barrière qui longe le CID jusqu’à la plage, on ne croise pas encore Cate Blanchett, John Travolta ou encore Matt Damon, mais quelques vacanciers. « Le tapis rouge (80 mètres) sera installé au dernier moment, d’après Paul Sechaud, directeur commercial et communication du Centre international de Deauville. Un tapis rouge d’une longueur de 80 mètres de long qui « sera changé le moins de fois possible. Une à deux fois pendant le festival ». Il faudra aussi attendre un peu avant l’installation du portique sous lequel passeront les vedettes du cinéma et des barrières délimitant le tapis rouge.
Le Pass Festival / 150 euros
Tarif réduit (Étudiants -26 ans / demandeur d'emploi*) / 100 euros
Valable du samedi 31 août au dimanche 8 septembre inclus et dans toutes les salles de projection du Festival.
Strictement nominatif, avec photo et non cessible, il donne accès, sur simple présentation à l’entrée de la salle, à toutes les séances bleues inscrites sur le programme des projections.
Pour assister aux séances rouges en soirée au C.I.D, il doit impérativement être accompagné d’une carte d’accès à retirer au préalable (cf. CARTE D’ACCES).
Le catalogue officiel est remis gracieusement pour tout achat d’un pass Festival.
Pour +1 euro supplémentaire : accès à toutes les séances du programme « Les Nuits américaines ».

Le Pass Journée / 30 euros
Tarif réduit (Étudiants – 26 ans / demandeur d’emploi *) / 15 euros
Valable pour les séances d’une même journée (à compter du samedi 31 août au dimanche 8 septembre inclus) et dans toutes les salles de projection du Festival.
Strictement nominatif et non cessible, il donne accès, sur simple présentation à l’entrée de la salle, à toutes les séances bleues d’une même journée inscrites sur le Programme des projections.
Pour assister aux séances rouges en soirée au C.I.D, il doit impérativement être accompagné d’une carte d’accès à retirer au préalable (cf. CARTE D’ACCES).
Pour 1 euro supplémentaire : accès à toutes les séances du programme « Les Nuits américaines ».

Le Pass Les Nuits américaines / 10 euros
Ou tarif spécial : +1 € supplémentaire avec tout autre pass acheté. Nominatif et non cessible. Donne accès, dans la limite des places disponibles, aux Nuits américaines.

Le catalogue officiel / 10 euros L'affiche du Festival / 5 euros

Le catalogue officiel + l'affiche du Festival / 12 euros

En vente à l’Accueil du C.I.D et à l’Office de Tourisme de Deauville


Réf : ouest-france.fr

Sofia Coppola : fille de star du cinéma

Sofia Coppola et son père Francis Ford Coppola, dans la savane pour Louis Vuitton

Durant sa jeunesse, Sofia Coppola apparaît dans plusieurs films réalisés par son père, comme Peggy Sue s'est mariée ou la trilogie Le Parrain. Elle fait ensuite ses premiers pas derrière la caméra avec le court-métrage Lick the star, avant un premier film produit par Francis Ford Coppola lui-même : Virgin Suicides. Un succès public et critique qui conduira celui-ci à récidiver en produisant Lost in Translation, Marie-Antoinette, Somewhere (Lion d'or à la Mostra de Venise) et The Bling Ring, présenté en ouverture de la section Un Certain Regard à Cannes.
 Adepte du "made in France"
En cinq films, la fille de Francis Ford Coppola, dont le nouveau long-métrage The Bling Ring sort ce mercredi, a su imposer son regard sur la société américaine. Une vision très influencée par son amour pour la culture française.
Son célèbre patronyme trahit ses origines italiennes, sa filmographie pointue exploite les cultes de la jeunesse et de la célébrité typiquement américains, mais Sofia Coppola semble aborder l'existence et le cinéma d'un point de vue français.
En couple depuis 2005 avec le Versaillais Thomas Mars, leader du groupe Phoenix, compositeur de titres pour trois de ses long-métrages (Lost in translation, Somewhere, The Bling Ring) et père de ses filles Romy et Cosima (6 et 3 ans), la réalisatrice ne subit pas seulement l'influence de celui qu'elle a rencontré pour la première fois en 1999 (pour la préparation de son Marie-Antoinette) et qu'elle a pris pour époux, habillée en Azzedine Alaïa, durant l'été 2011 (dans le sud italien).
Certes, après la naissance de leur aînée, ces deux icônes de la branchitude ont vécu quelques mois à Paris, où ils possèdent toujours un appartement (du côté de Saint-Germain-des-Prés). Pendant ce séjour, Sofia a pu s'imprégner de notre histoire sous les arcades du Palais-Royal, dans le jardin des Tuileries ou encore le long des galeries Musée D'Orsay (ses trois lieux cultes parisiens), se lier d'amitié avec quelques unes des ambassadrices du chic parisien (Carine Roitfeld et Mademoiselle Agnès, entre autres) et se familiariser avec notre langue qu'elle avoue maîtriser encore beaucoup moins bien que sa progéniture.
Mais bien avant de passer derrière la caméra (après une carrière d'actrice presque exclusivement réservée aux films de papa Coppola), Sofia a manifesté un intérêt certains pour notre culture.

Elevée en Californie, de son propre aveu complexée par son nez busqué et paralysée par sa lourde filiation, elle fuit la lumière crue du soleil, comme celle tout aussi brûlante des spotlights, pour grandir à l'ombre de l'auteur américano-breton Jack Kerouac. Le culte du corps, le bling, les paillettes, très peu pour elle. Il y a, elle le sait dès son plus jeune âge, un ailleurs, où le beau est dans la subtilité et le raffinement. Elle l'a confiée: "J'étais émerveillée quand mon père revenait de Paris avec des pièces magnifiques d'Yves Saint Laurent pour maman. L'art de l'élégance et la passion pour le détail m'ont été transmis par mon père et mon frère Roman, qui portaient des chemises chiffrées confectionnées sur mesure par Charvet. La mode, le luxe ont toujours fait partie de ma vie".

A quinze ans, moins cinéphile que fashionista, elle rentre en effet en stage chez Chanel, à Paris. Rue Cambon, Sofia est préposée aux cafés et aux photocopies, mais comme elle le dira: "J'ai beaucoup appris en observant Karl Lagerfeld et Gilles Dufour." Quoi précisément? Un sens du parti pris, une exigence pour la belle facture, une préférence pour l'allure plutôt que les effets spéciaux, autant de leçons qui influenceront sa façon de s'habiller (robes noires, chemises blanches ou bleues, chaussures plates) comme sa manière de filmer (goût pour la photographie de l'image, problématiques existentielles, intrigues imprégnées de mélancolie).

La fille de Francis Ford Coppola n'a pas la pompe de se proclamer artiste, elle se considère plutôt comme une artisane. Au savoir-paraître terriblement hollywoodien, nourrie par une lecture intensive du Vogue français qu'elle se faisait livrer dans la Napa Valley de son adolescence, elle préfère le savoir-faire que l'on qualifiera, certes avec prétention, de terriblement "frenchy". Proche du styliste Marc Jacobs, depuis qu'il l'a choisie pour incarner un de ses parfums en 2002, Sofia a, grâce à lui, rejoint le groupe Louis Vuitton pour lequel elle dessine épisodiquement des sacs depuis 2009.

Outre Nathalie Portman qu'elle a filmée à deux reprises pour le parfum Miss Dior Chérie, Miss Coppola a également mis en scène le ténor Roberto Alagna dans l'opéra Manon Lescaut de Puccini, à Montpellier. Un projet parallèle qui témoigne de sa volonté de ne pas suivre les sentiers, certes pavés d'or mais ô combien battus, d'Hollywood.

Une manière aussi de répondre à François Truffaut, l'un de ses réalisateurs fétiches, qui disait: "Le bonheur est la chose la plus simple, mais beaucoup s'échinent à la transformer en travaux forcés!"
Sofia Coppola n'est esclave de rien, sinon de son bon goût à la française.

Réf: gala.fr

Photos de Marilyn Monroe à vendre à Los Angeles



Plus de 3.700 photos de Marilyn Monroe, prises par le photographe de mode américain Milton Greene, seront dispersées samedi près de Los Angeles avec leurs droits d'auteur, a-t-on appris auprès de la maison d'enchères Profiles in History. La vente couplée des photos avec leurs droits d'auteur, une pratique peu courante dans le milieu, permettra à l'acquéreur d'imprimer, vendre et toucher des droits sur les images.
Les photos de l'icône et leurs négatifs se seront qu'une petite partie du fonds de 75.000 images inédites, réalisées par le photographe entre 1950 et 1960, qui seront mises aux enchères à Calabasas, une ville résidentielle au nord-ouest de Los Angeles. Le fonds comporte notamment des clichés de Steve McQueen, Paul Newman, Elizabeth Taylor, Richard Burton, Farrah Fawcett, Jane Fonda, Ava Gardner, Cary Grant et Audrey Hepburn, ainsi que des images rares de l'actrice pornographique Linda Lovelace ("Gorge Profonde").
"Milton Greene fait partie de ceux qui ont élevé la photographie de mode au rang des beaux-arts, avec d'autres artistes comme Richard Avedon, Cecil Beaton, Irving Penn et Norman Parkinson", affirme un communiqué de la maison d'enchères.
Marilyn et Milton Greene, décédé en 1985, se sont connus en 1953 lors d'une session de photos pour la revue Look. Lorsque le photographe, alors âgé de 26 ans, envoya ses images à la star, cette dernière lui envoya "deux douzaines de roses et lui téléphona pour lui dire que c'était les plus belles photos qu'elle avait jamais vues", selon la maison d'enchères.
Pendant les quatre années suivantes, jusqu'au mariage de Marilyn avec Arthur Miller, Milton Greene prit plus de 5.000 photos de la star, décédée en 1962 à l'âge de 36 ans.
Il signa à cette occasion certaines des images les plus célèbres de Norma Jean Baker -- en tutu, dans une piscine ou glamour sur fond noir
Source/ nouvelobs.com

Louise Bourgoin :La future star du cinéma américain

La future star Louise Bourgoin va faire ses premiers pas au cinéma américain dans un film "Mojave". Ce sera son premier rôle en anglais dans ce thriller psychologique réalisé par William Monahan.
La carrière de l'ancienne miss météo de Canal + prend un nouveau tournant. Après avoir tourné dans quelques productions françaises tel que ; "La fille de Monaco", "Las aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec" ou encore "L'amour dure trois ans", l'actrice s'apprête à rejoindre le casting de sa première production internationale.

Louise Bourgoin fera donc ses premiers pas de l'autre côté de l'Atlantique avec son premier rôle en anglais aux côtés d'Oscar Isaac et de Garrett Hedlund dans "Mojave" ce thriller psychologique réalisé par William Monahan.Pour le moment aucune information n'a filtré, notamment sur le rôle que jouera l'actrice française ni sur les dates de tournage.

En revanche, Louise Bourgoin ne compte pas s'arrêter en bon chemin. L'ancienne miss méteo a également décroché un rôle dans "Love Punch" de Joel Hopkins. L'actrice jouera aux côtés d'Emma Thompson et Pierce Brosnan. Ces derniers interprètent un couple divorcé obligé de traverser l'Europe à leur recherche de l'argent destiné à leur retraite qui a disparu.

En attendant de retrouver Louise Bourgoin en anglais, l'actrice sera à l'affiche le 04 septembre prochain  dans "Tirez la langue, mademoiselle" d'Axelle Ropert.

Réf : plurielles.fr

Selena Gomez révèle avoir un petit ami


Une interview au Guardian et la lecture qu'en fait TMZ relancent toutes les spéculations.

Selena Gomez dans "Spring Breakers
Dans une interview à l'édition dominicale du quotidien britannique "The Guardian", Selena Gomez révèle avoir un petit ami en ce moment et vouloir "garder cette relation privée". "Tout le monde tombe amoureux et personne ne voudrait cacher quelque chose à propos duquel vous êtes si heureux. Mais j'ai beaucoup appris. On garde les choses super-privées pour soi, " explique la jeune actrice et chanteuse alors que son prochain album doit sortir la semaine prochaine au Royaume-Uni.

Le petit ami qui pourrait bien être…Justin Bieber. L'actrice Disney est en effet apparue aux côtés de la pop star lors d'une fête privée à l'occasion de la fête nationale américaine le 4 juillet dernier. C'est TMZ qui a dévoilé une photo des deux jeunes stars, un verre à la main. Un signe qui, pour les people watchers et autres forcenés de la news qui buzze, ne trompe pas. Et tenez vous bien : Justin Bieber a posté sur son compte Instagram des photos de lui avec l'actrice. Conclusion logique de TMZ : le couple s'est reformé.

Mais, toujours selon TMZ, la brunette aurait posé ses conditions : que l'interprète de "Baby" arrête les excès. Entendez : fumer des champs de cannabis entiers et circuler pied au plancher au volant de sa Ferrari de plus de 500 chevaux vapeur. Mais Justin Bieber à l'eau claire et à bicyclette serait-il encore Justin Bieber?

Selena Gomez ne se pose pas la question. Le Guardian non plus d'ailleurs. Mais loin de n'évoquer que ses amours, l'actrice annonce dans la même interview qu'elle réverait de tourner avec Martin Scorsese. Non sans ajouter avec humour que "cette envie n'est sûrement pas réciproque". En attendant, elle  sera prochainement à l'affiche de "Rudderless", le premier film en tant que réalisateur de l'acteur William H. Macy ("Fargo") et de "Getaway" avec Ethan Hawke.

Réf : nouvelobs.com

Un acteur de "James Bond" retrouvé mort sur la côte anglaise

Paul Bhattacharjee jouait le rôle d'un docteur dans "Casino Royale". Il apparaissait aussi récemment dans le film "Indian Palace".
Le corps de l'acteur Paul Bhattacharjee, 53 ans, a été retrouvé en fin de semaine dernière près des falaises de Splash Point à Seaford dans l'East Sussex. L'hommme a été identifié mercredi.

Le comédien britannique d'origine indienne, vu dans le rôle d'un docteur dans "Casino Royale", "Indian Palace", avait été aperçu pour la dernière fois le 10 juillet, sortant du Royal Court Theatre à Londres. La police affirme que sa mort ne sera pas traitée comme "suspicieuse". Les derniers témoins affirment pourtant qu'ils l'avaient trouvé de "bonne humeur" quand ils l'ont vu avant sa disparition.

Il était un comédien de théâtre reconnu et respecté mais est plus célèbre pour son rôle dans le soap opera historique de la BBC "EastEnders". Paul Bhattacharjee apparaissait également dans le film "Dirty Pretty Things - Loin de chez eux" (2003) de Stephen Frears avec Audrey Tautou et Chiwetel Ejiofor.

Réf : nouvelobs.com

Ashley Greene dans "Wish I Was Here"



 Greene participera à ce film imaginé par Zach Braff et concrétisé grâce au financement des internautes.
Vue, comme Anna Kendrick d'ailleurs, dans "Twilight", Ashley Greene rejoint la distribution de cette comédie dramatique sur le passage à l'âge adulte d'un père de famille criblé de dettes. Elle incarnera une adepte de cosplay, discipline geek qui consiste à se déguiser en héros de mangas, comics ou jeux vidéo.

Kate Hudson, Jim Parsons, Mandy Patinkin et Josh Gad complètent l'affiche principale du long métrage. Zach Braff campera un comédien raté obsédé par la science-fiction. L'impossibilité d'inscrire ses deux enfants dans une école convenable le poussera à vouloir gérer lui-même leur éducation, l'obligeant à grandir lui-même.

Lancé fin avril sur Kickstarter, site spécialisé en financement participatif de projets, "Wish I Was Here" a rassemblé plus de 3, 1M$ auprès de 46.520 donateurs.


Réf : nouvelobs.com

Cinema : Transformers 4 - la superstar chinoise Han Geng rejoint le casting


Le casting de Transformers 4 se complète tout doucement. Après Li Bingbing, une autre star chinoise vient compléter l'équipe en la personne de Han Geng. Surnommé "le Roi de la danse" ou même "le Roi du divertissement", Han Geng est avant tout un chanteur pop ultra célèbre dans son pays. "C'est une des principales stars d'Asie dans le monde de la musique de le télévision et du cinéma" s'est extasié Michael Bay en annonçant sa présence dans Transformers 4, "il est devenu l'une des personnalités les plus influentes de Chine".

*  Transformers 4 : une ville "chinoise" construite en plein Détroit

Transformers 4 se passera pour une bonne partie en Chine, ce qui justifie la présence d'acteurs chinois de renom au casting. En plus de Han Geng et de Li Bingbing, on retrouvera au casting de Transformers 4 Mark Wahlberg, Jack Reynor, Glenn Morshower, Nicola Peltz, Sophia Myles, Kelsey Grammer et Stanley Tucci. Le film doit sortir l'année prochaine dans les salles obscures. L'histoire ne sera pas un reboot et se déroulera après les événements de Transformers 3. Le film est actuellement en tournage et devrait sortir le 27 juin 2014.


Réf : lavoixdunord.fr

Cinema -James Cameron déteste le cinéma en 3D

En 2010, le réalisateur James Cameron avait déjà confié à quel point l'utilisation de la 3D au cinéma était "dangereuse", à ses yeux, pour l'industrie du film. "Ça fait des années que je les (les professionnels du cinéma, ndlr) ai prévenus de l'arrivée du 3D. Ils auraient pu s'approprier cette technique pour s'en servir selon leur propre sensibilité et esthétisme. Mais on ne m'a pas écouté. Ils ont hésité, estimant que c'était un gimmick commercial tout juste bon pour les films pour enfants... ", confiait-il dans Le Figaro.

Aujourd'hui, le cinéaste, qui a depuis sorti Titanic en 3D, ne semble pas avoir changé d'avis. "Il y a plusieurs différences entre tourner en 3D et convertir un film en 3D. Avatar a changé les films, bons ou mauvais, en longs métrages potentiellement convertibles. Le problème, c'est que au lieu d'être une question posée aux cinéastes, la décision de la 3D est prise par les studios et motivée par des enjeux financiers (...) Je ne pense pas que Hollywood utilise correctement la 3D", a expliqué James Cameron, lui-même réalisateur d'Avatar, lors du forum Tag DF, centré sur les nouvelles technologies, se déroulant au Mexique.

Pour lui, certains films n'ont pas besoin de recourir à cette technique. "Man of Steel, Iron Man 3 et tous ces films n'auraient pas dû être nécessairement en 3D. Si vous dépensez 150 millions de dollars sur les effets visuels, le film va déjà être spectaculaire, parfait", juge James Cameron.

En 2012 déjà, le réalisateur de Piranha 2 avait taclé le long-métrage Piranha 3D réalisé par son confrère Alexandre Aja. "J'essaye de ne jamais dire du mal des films mais celui-ci est l'exemple typique d'une mauvaise utilisation du format. Il ressemble aux très mauvais films d'horreur en 3D des années 1970 et 1980 comme Vendredi 13", avait-il asséné. "Heureusement, le public est intelligent et va faire la différence entre les films qui méritent d'être en 3D et les autres. Quant aux studios, ils ont tout intérêt à ne pas noyer le marché".

Réf : people.voila.fr