Astérix et Obélix dès le dimanche en salles !

600 avant-premières du film "Astérix et Obélix : au service de sa Majesté" sont organisées dimanche à travers toute la France.

La sortie officielle d'"Astérix et Obélix : au service de sa Majesté" est prévue dans moins de deux semaines, le 17 octobre, mais les plus impatients vont avoir la possibilité de découvrir le film avant tout le monde ce week-end. Des avant-premières sont organisées dimanche dans 600 salles à travers tout le pays, une occasion unique de retrouver les deux Gaulois dans de nouvelles aventures.

Avec un changement de producteurs, "Astérix et Obélix : au service de sa Majesté" s'offre un vrai lifting dont le seul rescapé des trois précédents films est Gérard Depardieu, qui conserve le rôle d'Obélix. Edouard Baer endosse pour la première fois le costume d'Astérix. Aux côtés des deux compères, figurent au générique Guillaume Gallienne, Vincent Lacoste, Valérie Lemercier, Fabrice Luchini, Catherine Deneuve, Charlotte Le Bon, Bouli Lanners et Dany Boon... La réalisation est assurée par Laurent Tirard, qui avait excellé dans une autre adaptation pour le cinéma, celle du "Petit Nicolas".

Pour l'histoire, le scénario est basé sur deux albums de René Goscinny et Albert Uderzo, "Astérix chez les Bretons" et "Astérix chez les Normands". Astérix et Obélix répondent à l'appel à l'aide de Jolitorax, un envoyé spécial de la reine des Bretons, menacés par les légions romaines. En compagnie de Goudurix, le neveu de leur chef, ils traversent la Manche avec un tonneau de potion magique afin de venir à bout des armées de César... Malheureusement, rien ne va se passer comme prévu...

Source : lci.tf1.fr

Star Trek 2 : première image de Spock

Invité sur le plateau de l'animateur Conan O'Brien, le réalisateur J.J. Abrams a dévoilé le premier cliché de Spock (Zachary Quinto) dans son nouveau fillm. Avec beaucoup d'humour...
Quand il s'agit de "teaser" le public en l'aguichant avec de très courts extraits, les américains savent faire le show. Jeudi soir, J.J. Abrams est venu présenter le tout premier clip de "Star Trek Into Darkness", le nouveau film de la franchise de science-fiction attendu pour le 12 juin 2013 en France. Le cinéaste répondait aux questions de l'un des animateurs stars des Etats-Unis, Conan O'Brien, en annonçant qu'il avait apporté avec lui un clip de son long-métrage actuellement en montage. Selon lui, les instructions des studios Paramount étaient claires : l'extrait devait être très court. "Il ne peut pas être plus long que trois images" confie en riant J.J. Abrams.

"Il s'agit d'une scène dans laquelle Spock, pour des raisons que vous comprendrez en voyant le film, est sur un volcan avec un costume bizarre" précise le réalisateur avant de lancer la vidéo. Les fans doivent donc se contenter d'une image subliminale du personnage prise entre deux cartons noirs et certains reprocheront peut-être à J.J. Abrams de les torturer ! Le présentateur qui lui donne la réplique s'amuse d'ailleurs à penser que ces derniers feront des captures d'écran pour avoir une idée plus précise. "Star Trek Into Darkness" réunit à nouveau l'équipage de l'Enterprise composé notamment de Chris Pine, Zachary Quinto, Karl Urban et Zoe Saldana.

C'est Benedict Cumberbatch (de la série "Sherlock") qui a hérité du rôle du méchant. Il devrait incarner Gary Mitchell, un membre de l'équipage doté de pouvoirs surnaturels après avoir été exposé à une puissante énergie. Le long-métrage sera une adaptation du troisième épisode de la saison 1 de "Star Trek : The Original Series" intitulé 'Where No Man Has Gone Before'.

Source : lci.tf1.fr

Zurich Film Festival : Jeunes réalisateurs à l'honneur


Quatre «Oeils d'or» ont été remis à des jeunes réalisateurs samedi soir au terme du 8e Zurich Film Festival.
Le prix principal, celui du Film international, est revenu à "Broken", drame d'adolescence de Rufus Norris (GB), celui du Film germanophone à "Am Himmel Der Tag", de Pola Beck (D).

Dans le concours Documentaire international, c'est "The Imposter", de Bart Layton (USA), qui a été primé, tandis que le prix du Documentaire germanophone est revenu à "Der Prozess" de Gerald Igor Hauzenberger (A). Chaque "Oeil d'or" est doté de 20'000 francs en espèces ainsi que de 60'000 francs pour la promotion du film dans les cinémas suisses.

Le Prix des critiques a été décerné à "El ultimo Elvis", d'Armando Bo (Argentine), le Prix du public au documentaire suisse "Appassionata" de Christian Labhart. Quatre productions sur les six films primés constituent une première oeuvre.

Un drame sur l'adolescence
"Broken", un drame britannique sur l'adolescence, est la première oeuvre de Rufus Norris. Le jury a choisi cette production pour "son caractère touchant, emportant les spectateurs dans un voyage riche en émotions", selon le communiqué des organisateurs. Le réalisateur s'est vu remettre son prix samedi soir des mains du président du jury Frank Darabont.

"The Imposter", qui traite d'un homme se faisant passer pour un jeune disparu il y a des années, est également un premier travail. La présidente du jury, Jessica Yu, a expliqué les raisons de ce choix: "Un regard complet sur le monde, une mise en oeuvre technique et une réalisation exceptionnelle".

Diffusé en première mondiale, "Am Himmel Der Tag", qui évoque une jeune Berlinoise qui doit faire face aux défis de la grossesse, a été qualifié de "film subtil, harmonieux et précis, aux émotions violentes". Le documentaire autrichien "Der Prozess" revenait quant à lui sur le contexte d'un procès contre des défenseurs des animaux en 2008.

120 films projetés
Le Prix des critiques, décerné à une oeuvre participant à l'une des deux compétitions du film, récompense "El ultimo Elvis" pour sa "description émouvante d'un homme dont le culte voué à Elvis Presley devient partie intégrante de sa propre identité". Quant au Prix du public, attribué à l'un ou l'autre des films en compétition dans les quatre catégories, les spectateurs ont choisi, via bulletins de vote dans les cinémas, le documentaire suisse "Appassionata" de Christian Labhart. Il montre le retour de la pianiste de concert Alena Cherny dans sa patrie de Tchernobyl.

Un total de 120 films ont été projetés durant le festival, dont 39 dans les diverses compétitions. De nombreuses célébrités ont foulé le tapis vert zurichois, Richard Gere, Susan Sarandon, John Travolta, Oliver Stone et Helen Hunt notamment. Le budget a lui passé de 4,9 à 5,7 millions de francs par rapport à l'an dernier.
Réf: .tdg.ch/

S.H.I.E.L.D. : les révélations sur la série « Avengers »

Le réalisateur du long-métrage qui a rapporté 1,5 milliard au box-office développe une série télévisée tirée du même univers. Un projet qui plaira selon à lui à tous les publics. 

Du grand au petit écran, les studios Marvel n'auront pas perdu de temps. "Avengers" est un des plus gros succès de tous les temps au cinéma et les producteurs du film espèrent rencontrer le même succès à la télévision. Ils développent donc "S.H.I.E.L.D.", une série co-écrite par Joss Whedon, l'auteur-réalisateur du long-métrage qui rédige en ce moment le scénario de l'épisode pilote avec son frère Jed et une de ses fidèles collaboratrices, Maurissa Tancharoen. "La chose importante pour moi est que nous savons ce que le show sera. Nous aimons ce qu'il est. Cela est venu de manière très organique" a-t-il déclaré à Vulture.
 The Avengers - Bande annonce
Pour les fans et le profanes 
Joss Whedon veut que cette série intéresse tout le monde : "Cela va très bien marcher pour les gens qui aiment l'univers Marvel et pour ceux qui n'ont jamais mis un orteil dedans. L'intrigue que nous proposons sera largement autonome par rapport à la suite du film Avengers" a-t-il précisé.
 Selon le créateur de "Buffy contre les vampire" et "Angel", cette nouvelle série tournera autour des activités du "S.H.I.E.L.D.", l'agence d'espionnage ultra secrète menée par Nick Fury, un vétéran de la seconde guerre mondiale interprété par Samuel L. Jackson dans "Avengers". Mais pour l'instant, nul ne sait si des super-héros tels que Thor, Hulk ou Iron Man feront une apparition.
Réf: tf1.fr/

Kirsten Dunst et ses meilleures amies dans "Bachelorette"

Kirsten Dunst joue dans une sympathique comédie de copines avant le mariage, dans le sillage de "Very Bad Trip" et "Mes meilleures amies", présentée au Festival du cinéma américain de Deauville 2012.

Décidément, "Very Bad Trip" fait des émules... au féminin. Vous vous souvenez sans doute de cette comédie de potes avant le mariage signée Todd Phillips qui ressemblait à une alternative aux comédies estampillées Judd Apatow, le réalisateur de "40 ans toujours puceau" et de "En cloque mode d'emploi", jouant sur les codes du polar amnésique (que s'est-il passé la nuit dernière? où est passé le futur mari?) et usant d'un humour absurde sans pitié.

 L'année dernière, Judd Apatow répliquait en produisant "Mes meilleures amies". L'hilarante comédie de Paul Feig n'était pas sans rappeler la facture des comédies romantiques des années 90 de l'Australien Paul J. Hogan ("Muriel" et "Le mariage de mon meilleur ami") avec toutefois plus d'outrances ordurières. Et pour l'apprécier pleinement, il fallait passer outre l'impression de déjà-vu.

 Si on pensait à une variation de "Very Bad Trip" au féminin, d'autant que la situation (ce qui se passe avant le mariage) et les personnages étaient grossièrement décalqués (Melissa McCarthy, pendant féminin de Zach Galifianakis), "Mes meilleures amies" fonctionnait grâce à la capacité conjuguée des comédiens et des scénaristes à tenir la note. Ce fut d'ailleurs le succès surprise au box-office américain l'année dernière.

"Bachelorette" découle naturellement de cette veine trash et drôle avec un peu de retard mais il possède comme solide argument la présence de Kirsten Dunst en tête d'affiche, manifestement remise de sa dépressive fin du monde chez Lars Von Trier ("Melancholia"). L'argument est simple comme bonjour : trois meilleures amies sont invitées à œuvrer en tant que demoiselles d'honneur lors du mariage d'une fille qu'elles appelaient face de truie au lycée. Et le résultat, s'il ne fait guère dans la dentelle, a logiquement provoqué l'hilarité des festivaliers, trouvant un peu de répit dans une sélection particulièrement sombre.
 Bande annonce
"Bachelorette" sort dans les salles le 17 octobre prochain.
Réf: tf1.fr

L’Islande soutient l’industrie du cinéma

Ces dernières années, l’Islande a servi de décor aux plus grands films hollywoodiens : le célèbre James Bond « Meurs un autre jour » en 2002, « Batman begins » en 2004, « Flags of our fathers » en 2005, ou encore « Promotheus » en août 2010

Cet été, plusieurs stars d’Hollywood ont fait le voyage en Islande pour participer aux tournages des prochains blockbusters : Tom Cruise pour Oblivion, Russell Crowe, Emma Watson et Anthony Hopkins pour Noah’s Ark et Ben Stiller dans The Secret Life of Walter, tous annoncés en salles courant 2013.

Les réalisateurs aiment l’Islande et ses décors naturels incroyables et les islandais aiment le cinéma. C’est pourquoi ils ont décidé de soutenir de nombreux projets de tournage en remboursant 20% des coûts de production. Les sociétés de production sont invités à soumettre une demande de remboursement auprès du Trésor Public islandais à hauteur de 20% des coûts engagés dans la production de films ou d’émissions de télévision en Islande. La demande de remboursement est une procédure très simple qui doit être soumise au Ministère de l’Industrie avant le début du tournage.
Plus d’informations :

Toujours plus de cinéma avec le Festival du Film International de Reykjavik
 Grand rendez-vous des amateurs de cinéma et des professionnels, le Festival International du Film de Reykjavik (RIFF) se tiendra pour la 8ème année consécutive du 27 septembre au 7 octobre 2012 dans la capitale islandaise.

Les passionnés à l’initiative du RIFF se sont donnés pour mission de présenter un large éventail de films dramatiques et de documentaires issus de plus de 40 pays.

Comme tout lieu de rencontres et d’échanges, le festival souhaite avant tout présenter des films de qualité, soutenir l’innovation dans le domaine du cinéma, maintenir le réseau entre les professionnels du monde entier et favoriser le dialogue social et culturel. Le RIFF encourage notamment l’interaction du cinéma avec d’autres disciplines artistiques à travers l’organisation de concerts, d’expositions photo et bien plus encore.

En 2012, il sera consacré au cinéma indépendant des quatre coins du monde et mettra à l’honneur des cinéastes parmi les plus prometteurs.

Le célèbre producteur et acteur Dario Argento recevra à cette occasion un prix d’honneur pour l’ensemble de sa carrière.

Ref: mcetv.fr

Damgan -Jacques Weber parraine une salle de cinéma

Le petit cinéma Les Cardinaux, de Damgan, vient d'obtenir le parrainage de Jacques Weber. Le célèbre acteur est venu, hier, apporter son soutien aux bénévoles qui font marcher la salle.

Yves Largement n'y croyait pas trop. C'était au dernier salon du livre de Vannes, en juin. JacquesWeber y participait. «Je l'ai intercepté sous prétexte d'une dédicace pour lui demander son parrainage."Soyons fous", m'a-t-il répondu en griffonnant son numéro de portable sur un marque-page. J'ai attendu fébrilement le lundi pour appeler et lorsque sa voix a effectivement retenti dans l'écouteur, j'ai été comblé», raconte le patron du cinéma Les Cardinaux, à Damgan. C'est un superbe soutien moral que vient de décrocher cette salle associative qui, l'an passé, a fait 13.000 entrées. Elle fêtera ses50ans l'an prochain. «Dans cette perspective, nous avions envie de créer un lien privilégié avec un artiste reconnu et aimé du public. Encore fallait-il que cet artiste aime aussi la Bretagne», souligne Yves Largement.

On a failli mourir
Avec ses 150 places, le cinéma de Damgan propose trois séances (les vendredi, samedi et dimanche) hors saison et neuf pendant l'été où la commune passe de 1.800 à 25.000 habitants. Il est affilié au cinéma «Le Concorde», à Nantes, pour la programmation et fait partie d'un réseau de salles rurales. Une trentaine de bénévoles en assurent le fonctionnement. «Et pourtant, on a failli mourir une première fois, le 25août 1998. La dernière séance était le film "Cinéma Paradiso". Relancé en 1999 et rebaptisé Les Cardinaux (*), il a refermé ses portes une seconde fois en 2003», relate Yves Largement. C'est à ce cinéphile que le maire de Damgan, Alain Daniel, a confié la mission de prolonger le scénario. Rééquipé en dolby stéréo en 2005, le cinéma est passé au numérique l'année dernière, tandis que la salle a été entièrement refaite.

Un coup de main
C'est cet esprit qu'est venu saluer Jacques Weber, sur la route de Sainte-Marine, dans le Sud-Finistère, où il vient séjourner tous les ans pendant dix jours. «On n'en peut plus des multiplexes. J'aime bien ces cinémas à taille humaine. Quand je vois la passion avec laquelle vous avez organisé tout cela, j'ai envie de vous donner un coup de main», a dit l'acteur, en suggérant que la petite salle puisse aussi accueillir des pièces de théâtre et n'excluant pas de venir y jouer. En attendant, l'équipe des Cardinaux songe à préparer les 50 ans du cinéma, qui s'appelait le Familia à sa création, en 1963, et qui n'a pas quitté son statut de salle paroissiale. Elle va réfléchir aussi à un changement de nom. Pourquoi pas «salle Jacques Weber», suggère Yves Largement.

* Du nom de la bataille navale qui se déroula entre Français et Anglais en 1759, au Cardinaux, au large de la presqu'île de Rhuys.

Réf : letelegramme.com

L'Amicale laïque exploitera le cinéma

Le conseil municipal a confié l'exploitation du cinéma à l'Amicale laïque pour sept ans.
Les travaux du futur cinéma, sur le parking de la Moutète, devraient débuter fin 2012

«Ça y est, le marathon est terminé ! » À l'issue du conseil municipal hier soir, Ginou Guichemerre, la présidente de l'Amicale laïque d'Orthez était soulagée.

Un peu plus tôt, son association, la seule à avoir remis un dossier complet de candidature, a obtenu la charge de la future exploitation du cinéma. « Je suis très contente que cela soit ainsi, a déclaré Fabienne Pit, adjointe au maire, ce choix garantira la pérennité d'un cinéma tout public, avec une place importante pour une programmation d'art et d'essai. »

120 000 euros d'équipements
C'est la Ville d'Orthez qui prendra en charge l'équipement numérique de la grande salle du futur cinéma. L'Amicale laïque se chargera pour sa part, d'équiper la petite salle.

Hier soir, le Conseil municipal a décidé de consacrer 120 000 euros hors taxes, inscrits au budget 2013, à ces équipements numériques. Orthez s'engage donc à fournir un projecteur, un serveur numérique, une librairie et tout le matériel nécessaire au fonctionnement de cette salle.

Ces 120 000 euros s'ajouteront au budget alloué aux travaux de construction du cinéma. Un projet dont le montant s'élève à plus de 2 millions d'euros, à la charge de la ville d'Orthez comme toutes les dépenses liées à la politique culturelle.

« Il faut préciser que la municipalité fait des efforts pour que le bâtiment consomme le moins d'énergie possible, a expliqué Fabienne Pit, adjointe au maire. Ces efforts permettront au budget d'être équilibré plus rapidement. »
Équilibre budgétaire en 3 ans

Mais ce vote n'a pas manqué de faire réagir l'opposition, pour qui ce cinéma est un pari bien trop ambitieux pour une ville comme Orthez. Le projet prévoit en effet de faire passer la fréquentation dans les salles obscures à 46 000 entrées par an, alors que le Studio, géré par l'Amicale laïque, n'accueille aujourd'hui qu'à peine plus de 22 000 personnes chaque année. Le pallier de 46 000 entrées permettra au cinéma d'atteindre l'équilibre budgétaire au terme de trois années d'exploitation.

« Nous avons soumis la question de l'affluence a un programmiste, comme cela se fait partout, explique René Descazeaux, adjoint à la culture, ce nouvel établissement, plus moderne devrait permettre d'atteindre ce quota dans quelques années. » La municipalité a d'ailleurs rappelé qu'elle s'était appuyée sur la fourchette d'évolution la plus basse constatée sur un cinéma de même type.

La décision est maintenant actée. Et au sein de la majorité, on se veut optimiste quant aux délais. Les travaux devraient débuter fin 2012, pour une mise en service du cinéma à la fin de l'année 2013.

 Ref: sudouest.fr

69e édition du Festival de Venise : Un Lido rénové accueillera les stars à la Mostra


Le compte à rebours est lancé pour la 69e édition du Festival de Venise, qui accueillera, à partir de mercredi, sur un Lido en partie rénové, une pléiade de stars, au premier rang desquelles Robert Redford, Jeanne Moreau, Claudia Cardinale et Ben Affleck.

Dix-huit films sont en lice pour le prestigieux Lion d'or, qui sera décerné le 8 septembre par un jury présidé par le réalisateur américain Michael Mann, entouré notamment de l'actrice et mannequin française Laetitia Casta, du cinéaste italien Matteo Garrone et de l'actrice britannique Samantha Norton.

 C'est au thriller politique de l'Indienne Mira Nair, L'intégriste malgré lui, avec à l'affiche entre autres Kate Hudson et Liev Schreiber, que reviendra l'honneur d'ouvrir le bal mercredi soir, dans un Palais du cinéma partiellement restauré.

 «Cette année, la zone d'accès du Palais a été refaite totalement. Il y a un projet concret qui, sur trois ans, va permettre de renouveler totalement les structures disponibles sur le Lido», se réjouit le directeur du festival, Alberto Barbera, dans un entretien avec l'AFP.

 Ce lifting amorcé permettra à la Mostra d'accueillir dignement ses illustres visiteurs.

 «Il y aura beaucoup de stars cette année sur le Lido, il suffit pour cela de parcourir les castings des films sélectionnées: de Ben Affleck à Javier Bardem en passant par Gérard Depardieu, Zac Efron, Shia Labeouf, John Malkovich et Robert Redford, qui pour la première fois viendra à Venise», souligne M. Barbera.

 «Côté femmes, Claudia Cardinale, Cécile de France, Selena Gomez, Vanessa Hudgens, Kate Hudson, Isabelle Huppert, Jeanne Moreau, Marisa Paredes, Winona Ryder, Emmanuelle Seigner...» énumère-t-il, tout en mettant l'accent sur le nombre de réalisatrices présentes.

 «Je crois qu'au total il y aura 21 femmes réalisatrices (...) Peut-être est-ce le signe que, finalement, quelque chose est en train de changer dans le monde du cinéma qui est, comme nous le savons, très sexiste», observe-t-il.

En compétition, l'Américain Terrence Malick présentera To the Wonder (avec Ben Affleck, Rachel Weisz et Javier Bardem), et Brian de Palma Passion (avec Rachel McAdams), tandis que le Japonais Takeshi Kitano proposera Outrage Beyond et Marco Bellocchio Bella Addormentata.

 Outre Bellocchio, deux cinéastes italiens figurent en compétition: Daniele Cipri (E stato il figlio) et Francesca Comencini (Un giorno speciale).

 Côté français, deux films seront en lice - Après mai d'Olivier Assayas et Superstar de Xavier Giannoli avec Kad Merad et Cécile de France - ainsi qu'une coproduction Belgique/Pays-Bas/France, La cinquième saison de Peter Brosens et Jessica Woodworth.

 Hors compétition, un des moments forts de cette 69e Mostra devrait être la venue de Robert Redford, devant et derrière la caméra, dans The Company you Keep, aux côtés de Shia LaBeouf et Julie Christie.

 Beaucoup de curiosité aussi autour du documentaire de Spike Lee, Bad 25, sur le 25e anniversaire de la sortie de l'album de Michael Jackson Bad.

Quant à Manoel de Oliveira, il offrira au Lido un somptueux tapis rouge avec son dernier opus, O Gebo e a Sombra: Michael Lonsdale, Claudia Cardinale et Jeanne Moreau. Des petits jeunes face au géant du cinéma portugais, qui fêtera en décembre ses 104 ans!

 «Mon sentiment est que la saison cinématographique s'annonce positive et prometteuse», confie Alberto Barbera, qui a succédé à Marco Müller à la tête du doyen des festivals de cinéma.

 «Il y a une grande fermentation innovante, notamment dans des pays totalement privés de cinéma ou avec une tradition cinématographique très modeste», note-t-il, citant en exemple un court-métrage népalais et le tout premier film d'une Saoudienne sur les discriminations sexistes dans son pays.

 Toutes sections confondues, cette Mostra peut s'enorgueillir de pas moins de 50 premières mondiales.

Les 18 films en compétition à la Mostra

Après Mai de Olivier Assayas - France
At any Price de Ramin Bahraini - États-Unis/GB
Bella Addormentata de Marco Bellocchio - Italie/France
La cinquième saison de Peter Brosens et Jessica Woodworth - Belgique/Pays-Bas/France
Lemale Et Ha'Chalal de Rama Burshtein - Israël
E stato il figlio de Daniele Cipri - Italie/France
Un giorno speciale de Francesca Comencini - Italie
Passion de Brian de Palma - France/Allemagne
Superstar de Xavier Giannoli - France/Belgique
Pieta de Kim Ki-duk - Corée du Sud
Outrage Beyond de Takeshi Kitano - Japon
Spring Breakers de Harmony Korine - États-Unis
To the Wonder de Terrence Malick - États-Unis
Sinapupunan de Brillante Mendoza - Philippines
Linhas de Wellington de Valeria Sarmiento - France/Portugal
Paradies: Glaube de Ulrich Seidl - Autriche/France/Allemagne
Izmena de Kirill Serebrennikov - Russie
The Master de Paul Thomas Anderson - Etats-Unis

Ref : lapresse.ca

Angelina Jolie donnera la réplique à sa fille Vivienne Jolie-Pitt

Maleficent, c’est le nom du dernier projet signé Disney: une réadaptation, version conte moderne, de La Belle au bois dormant. Choisie pour incarner la princesse Aurore enfant, Vivienne Jolie-Pitt y affrontera sa mère, Angelina Jolie, de son côté retenue pour jouer la grande méchante, Maleficent.
Jaden et Willow, les enfants de Will Smith, Rumer, la fille de Bruce Willis, Noé Boon, le fils de Dany Boon et de Judith Godrèche, Marilou Berry, la fille de Josiane Balasko… Angelina Jolie n’est ni la première, ni la dernière à user de sa notoriété pour faire jouer l’un de ses rejetons dans l'un de ses films, avant même l’âge de raison. Le quotidien britannique The Sun vient de confirmer la rumeur: la petite Vivienne Jolie-Pitt (la sœur jumelle de Knox) a été choisie pour interpréter la princesse Aurore enfant dans la nouvelle version de La Belle au Bois Dormant, narré du point de vue obscur de l'histoire. Celui, donc, de la sulfureuse Angelina Jolie, qui incarnera Maleficent, la grande méchante du célèbre conte de Charles Perrault.

Vivienne n’a que 4 ans, mais elle aurait déjà hérité des talents d’actrice de sa maman. Selon un proche de la famille Jolie-Pitt «Viv est une actrice née», avant d’ajouter, «Angie s’est dit que ce serait une expérience amusante à partager…». L’équipe est donc au grand complet avec des acteurs comme Elle Fanning (choisie pour le rôle de la princesse Aurore, adolescente), Juno Temple, Sam Riley, Sharlto Copley, Imelda Staunton, et Miranda Richardson, qui complètent le casting. Le tournage est actuellement en cours à Londres, chapeauté par Robert Stromberg, le chef réalisateur d’Avatar, pour une sortie prévue en mars 2014.

Après Shiloh qui avait fait une apparition dans L’Etrange histoire de Benjamin Button, dans les bras de son papa, et ce baptême du feu pour la petite Vivienne, on n’a sans doute pas fini d’entendre parler de la fratrie Jolie-Pitt au cinéma. Une source, qui n'indique pas quand les Brangelina se diront enfin oui pour la vie, raconte que la benjamine de la fratrie a fait des envieux: «Leurs autres enfants implorent Angie et Brad de leur trouver aussi des rôles».

Réf : gala.fr

Le cinéma russe face au défi du numérique



Le fameux réalisateur russe Karen Chakhnazarov, le directeur de la plus grosse corporation cinématographique en Europe le Mosfilm a exposé le 17 août, pendant la rencontre avec les journalistes de Moscou, ses idées sur l'industrie cinématographique russe et son avenir.


Les soucis du cinéma russe sont ceux du cinématographe mondial, les technologies numériques. Plus exactement, les conséquences de la numérisation. Partout, le cinéma passe aux technologies numériques et cela, c’est un choc grandiose, indique Chakhnazarov.
« Je trouve que pour le cinéma, c'est une vraie révolution ! C'est une révolution plus grande, que le passage au son à l’époque. Les technologies numériques c’est un moment important. Et le principale support avec lequel avait commencé le cinématographe disparaît : la pellicule ».

« En rapport avec le passage aux technologies numériques, une crise grave menace les grands studios », pense Chakhnazarov. Et le problème, ce ne sont pas les nouvelles technologies, le Mosfilm, par exemple, y est entièrement prêt. Simplement, pour tourner le film en version numérique, il n'est pas nécessaire d’avoir de grosses capacités de production, de grands pavillons pareils à ceux du Mosfilm, il suffit d’avoir une pièce ordinaire. C'est pourquoi plusieurs studios, y compris européens, construits au dernier siècle, et orientés vers le travail avec la pellicule, frisent la clôture.

Le Mosfilm résout pour le moment ce problème grâce aux projets de télévision, qui nécessitent justement des pavillons. « En outre, la position du Mosfilm est plus stable que celle des studios de l'Europe, parce qu'à différence des autres, il a réussi à garder toutes les technologies », souligne Karen Chakhnazarov.

« Justement puisque nous avons tous des segments de l'industrie cinématographique, nous gagnons. Si nous perdons dans un segment, nous compensons les pertes grâce à l'autre. Autrefois, le laboratoire du traitement de la pellicule était la source principale des revenus, mais maintenant, la situation a changé. Par contre, il y a une collection de costumes. Par exemple, sur la plupart des studios étrangers, il n'y a pas, en général, de collections de costumes, mais nous l’avons gardée. Nous avons des excursions, un musée d'abord, cela semblait exotique mais maintenant, il rapporte bien, nous avons plus de 100 000 visiteurs par an. C'est-à-dire, tout fonctionne chez nous, apporte des recettes ».

Dans les studios de Mosfilm, on tourne plus de 100 films par an, le bénéfice annuel est de l'ordre de 300 millions de roubles, et le consortium ne demande pas un seul Kopeck à l'État.

Selon l'avis de Chakhnazarov, la numérisation n’est pas le seul problème de l'industrie cinématographique russe. Le réalisateur est assuré que le système introduit il y a trois ans du financement du cinéma, sous-entendant deux centres financiers, le ministère de la culture et le Fonds Fédéral du soutien de la cinématographie, n'est pas justifié.

Il doit y avoir un centre commun, affirme Chakhnazarov, qui s'occuperait de tous les problèmes du cinéma. Et le deuxième point, très important, à mon avis, le soutien doit être accordé à un projet concret, indépendamment du fait, de quel studio il s’agit, grand ou petit.

Chakhnazarov pense qu’il ne faut pas créer une compagnie d'État pour la production des films, cela n’apportera rien de bon. Il faut annoncer l'appel d'offres pour deux ans, dit-il.

Celui qui gagnera l'appel d’offres, aura la jouissance des droits, affirme le célèbre réalisateur russe.



Réf : ruvr.ru

L'école de cinéma de Kinshasa forme des techniciens

Djo Munga, le réalisateur de Viva Riva, un film policier africain sorti avec succès à Paris au printemps dernier, a monté une école de cinéma à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, qui forme des techniciens et assure la production de courts ou de longs métrages.

"Avec ce film qui a fait 17.000 entrées la première semaine à Paris, des portes s'ouvrent, des gens viennent me voir", explique avec bonhomie Munga, 39 ans, dans une chambre de passage de la villa qu'il loue pour ses étudiants dans le quartier "Ma campagne".

Les Ateliers Action de Kinshasa, après des sessions de 45 jours les trois premières années, étalent désormais leurs cours sur toute l'année scolaire. Sur plusieurs centaines de candidats, un professeur de l'Institut national des arts et spectacles de Bruxelles en sélectionne 16, âgés de 29 ans maximum.

L'école de cinéma belge envoie toute l'année des professeurs. Opérateurs, preneurs de son, monteurs se succèdent pendant que chaque jour les élèves étudient le cinéma et l'anglais. L'essentiel du financement, 300.000 euros environ, vient également de Bruxelles notamment grâce à la fondation roi Baudouin. La Femis, principale école francaise de cinéma, envoie aussi des professeurs et a accueilli un stagiaire sorti de Kinshasa.

Les cahiers du cinéma
"Il faut d'abord absorber les classiques", explique Munga. Les documents détaillés concernant un film classique, édités par la revue Les cahiers du cinéma constituent le fond de la bibliothèque de l'école. Puis devant un écran fait d'un drap blanc, le groupe décortique chaque matin Alfred Hitchkock, Akira Kurosawa, René Clair, Tim Burton, Wooddy Allen et d'autres.

Actrices, techniciens de télévision, passionnés, les élèves, tous sortis d'universités, se voient attribuer un pécule de 200 USD (160 euros) mensuel pour vivre. Ils sont ponctuels et attentifs. Chaque matin l'un d'entre eux se charge de l'entretien, un autre assure le service du déjeuner, collectif et gratuit.

"On essaie aussi de les suivre dans leurs petits projets (...) nous sommes restés ouverts à tous et nous les avons fait participer aux grands projets", explique Arly Kozi, la responsable de l'école. ONG, institutions, ambassades viennent parfois demander un film dont la réalisation est aussitôt intégrée dans le cursus. "On tire parti de ce qui existe", explique le cinéaste dont le film a été tourné en décor naturel dans les rues chaudes de Kinshasa.

Mais "à l'arrache c'est trop dur, il faut stabiliser les étudiants", dit Munga qui semble avoir une certaine expérience des conditions de tournage difficiles. "Dans un monde idéal, on aurait un conseil d'administration", reconnaît-il, mais il voudrait surtout que l'esprit de production cinématographique renaisse au Congo.

Un étudiant coûte en moyenne 20.000 euros. "Pas sûr qu'ils vont chômer", ajoute-t-il. A Kinshasa, plusieurs dizaines de chaînes de télévisions privées, souvent médiocres, se sont établies.

Lumière Nyola, 23 ans, était étudiante à Lubumbashi. Actrice, elle a découvert le montage. "Ici, je peux créer", dit-elle.

La dernière salle de cinéma de Kinshasa a été fermée en 2004. Elle s'appelait Cinepolis, "avant c'était Cinemax", disent-ils tous en choeur. "J'ai vu là-bas +Illusion mortelle+ de Tshitenge N'Sana" lance un étudiant avec ferveur.

Ref : nouvelobs.com

Cinéma : festival du conte à Ker-Anna


Batz'Art, l'association îlienne dédiée au cinéma, présente - comme chaque année en période estivale - son festival. Cette année, celui-ci sera consacré aux contes. Trois films sont programmés : du jeudi 16, vendredi 17 et samedi 18 août, salle Ker-Anna. Ce soir, les enfants découvriront le film d'Olivier Horlait, sorti en juin 2011, Nicostratos le pélican. L'histoire de Yannis, 14 ans, qui recueille et élève, en cachette de son père, un pélican blanc.

Vendredi, sera projeté, pour les plus grands cette fois, La nuit du chasseur, film de 1956 de Charles Laughton avec Robert Mitchum. L'histoire de ce prêcheur inquiétant à la poursuite de deux enfants dont le père vient d'être condamné pour vol et meurtre. Avant son incarcération, le père leur avait confié dix mille dollars, dont ils ne doivent révéler l'existence à personne. Pourchassés sans pitié par ce pasteur psychopathe et abandonnés à eux-mêmes, les enfants se lancent sur les routes.

Samedi soir, pour tous les publics, l'association propose Peau d'âne, réalisé en 1970 par Jacques Demy, avec Catherine Deneuve et Jean Marais. L'histoire de cette reine moribonde qui a fait promettre au roi de n'épouser qu'une femme plus belle qu'elle. Dans tout le royaume, une seule personne peut se prévaloir d'une telle beauté, sa propre fille. Revêtue d'une peau d'âne, la princesse désespérée s'enfuit du château familial.

Ref : ouest-france.fr

Cinéma : Gindou, la tête dans les étoiles


Les 28ièmes Rencontres de Cinéma de Gindou débutent aujourd'hui et vont durer jusqu'au 25 août. Le village Bourian devient durant une semaine le village du 7ième Art. Les Rencontres de Gindou-Cinéma s'affinent d'année en année aussi connaissent-elles un succès croissant. On attend 20.000 personnes, peut-être plus car les prévisions météorologiques prédisent une semaine de canicule propice aux séances de nuit au paradisiaque cinéma de verdure. Le succès de ces Rencontres étant du à une programmation de qualité, à une ambiance conviviale et bon enfant qui plait aux cinéphiles .Gindou a inventé le Concept des "Tchatches" qui permettent au public de rencontrer des réalisateurs. Le cinéaste Robert Gueédiguian en présence de son épouse l'actrice Ariane Ascaride sera l'invité d'honneur. Sa présence ce week-end devrait satisfaire ses nombreux fans. Onze de ses films seront présentés. Les vagabondages cinématographiques présentent 22 longs métrages dont la plupart en avant-Première, 17 courts métrages et 10 films "Jeune public". Une carte blanche est donnée au Filmfest Dresden qui présente 7 films Allemands. Une carte blanche est donnée à la cinémathèque de Toulouse et aux Archives Françaises du cinéma. 6 longs métrages - 6 courts métrages - 8 séances spéciales.


Réf : ladepeche

Avengers 2 : La date de sortie a été dévoilée


La suite d’Avengers de Joss Whedon débarquera le 1er mai 2015 au cinéma.

Avengers 2 sortira aux Etats-Unis le 1er mai 2015 : c’est le site Deadline qui a dévoilé cette information. Il faudra donc patienter presque trois ans pour la suite d’Avengers, le film de super-héros choral des studios Marvel qui a rassemblé Iron Man, Hulk, Captain America, etc... Et qui sera toujours réalisée par Joss Whedon.

Et accessoirement troisième plus gros succès cinéma de tous les temps avec 1,4 milliard de dollars de recettes sur la planète. Pour l’instant, la date de sortie française n’a pas été précisée : vous pouvez commencer dès maintenant à vous joindre à la chaîne de prière qui demande à Marvel de sortir Avengers 2 comme le premier, dix jours avant les USA…

Mai 2015 paraît très loin : pas de panique, Marvel a prévu de quoi faire patienter le public. En effet, avec la révélation de la date d’Avengers 2, le studio vient de dévoiler la quasi totalité de son line up (ou planning de sorties) pour les prochaines années. On récapitule : Iron Man 3 en mai 2013, Thor : The Dark World en novembre 2013, Captain America : The Winter Soldier en avril 2014, Guardians of the Galaxy (un futur film de space opera super-héroïque) le 1er août 2014… et enfin Avengers 2 qui rassemblera tout ça en mai 2015. Ce line up constitue ce que Marvel appelle ses films de la « Phase 2 », c’est-à-dire arrivant après Avengers et préparant Avengers 2.

Il y a donc un trou immense de 10 mois entre Guardians of the Galaxy et Avengers 2 : ça pourrait être l’idéal pour caser Ant Man, le film d’Edgar Wright (Shaun of the Dead, Hot Fuzz) qui prend comme héros L’Homme-fourmi. Et qui pourrait bien apparaître dans Avengers 2… En attendant, plus ça va et plus Marvel garde son avance face au concurrent DC/Warner, qui semble bien décidé à ne rien annoncer d’officiel sur Justice League (la participation de Ben Affleck reste une rumeur), le film qui doit réunir Batman et Superman et qui semble seul de taille à lutter contre Avengers 2.

Source: premiere.fr